Archives de Tag: Stoner

Larman Clamor – Frogs

Un nom con certes mais quel classe ce teuton.

Larman Clamor de son vrai nom Alexander on Wieding est surtout connu pour ces artworks que l’on retrouve beaucoup dans les productions Small Stone et même chez de grosses pointures (Monster Magnet, Karma to Burn, …).

Mais il fait aussi de la musique. Bien même.

Son album Frogs est assez étrange à dire vrai. Un bon gros blues/stoner qu’on attend pas forcément de quelqu’un venant de teutonie mais il réussit à maîtriser à merveille l’ambiance « Mud » des albums produits au fin fond du bayou.

Le vinyl, de couleur vert marais, est fourni avec un livret de 20 pages franchement joli.

Publicité

Pet The Preacher – The Banjo

Rhôooo, j’suis chaud moi.

Le groupe d’avant m’a tellement excité que je ne peux m’empêcher de vous faire part d’un autre groupe dont j’attends fébrilement le skeud : Pet The Preacher – The Banjo

Je sais pas trop d’où ils sortent mais au final on s’en fout un peu. L’album suit le parcours d’un homme qui combat ses démons. C’est direct, ça groove et les oreilles aiment ça

En vente chez Kozmik Artifactz. Artwork génial par SinEater


The Brought Low

Je parlais hier de la difficulté de pondre un billet mais aujourd’hui je me lance sans trop cogiter histoire de faire partager cette pépite que je viens de découvrir au cours de mes pérégrinations sur la toile.

Southern/Stoner rock. Big up pour la voix du chanteur.

Groupe signé sur SmallStone Records – le pressage vinyle ne devrait pas tarder à arriver.

Et une deuxième à en chialer de plaisir


Graveyard – Lights Out

20121027-180721.jpgGraveyard est un groupe suedois qui a à son actif 3 albums, le dernier étant sorti hier et dont je viens de recevoir un exemplaire en 33 trs de chez Nuclear Blast.

Le vinyl en lui même est deja un bel objet.
On sent que les teutons de NB essayent de choyer leur recrue et son audience en proposant vraiment un package de qualité : pochette double de belle facture poster, lyrics, range vinyl original.

Les suedois sont vraiment attendu au tournant suite à l’enormissime Hisingen Blues de 2011 qui constitue pour moi une des meilleurs decouvertes/albums de ces dernieres annees et qui fut très bien accueilli par la presse et surtout par l’ensemble que constitue la blogosphère stoner/doom.

Je n’ai l’album que depuis 24 h et 3-4 ecoutes au compteur (sachant que je dois gérer ma drolesse de 16 mois en même temps) mais je dois dire que je suis concquis et ce pour deux raisons :
– C’est bien du Graveyard
– Ce n’est pas Hisingen Blues 2.

20121027-180728.jpgEt franchement ce deuxième point à toute son importance. Difficile de sortir un skeud moins d’un an après une bombe sans se laisser succomber à la facilité de ressortir la même recette. Bon, ça reste du Graveyard comme je le disais mais le groupe semble avoir muri tant au niveau de la production que de la construction de certains morceaux. L’album dégage par ailleurs une aura plus sombre qui n’est pas déplaisante.
 

Un gros plus pour la voix du chanteur que je trouve encore plus maîtrisée que dans le précédent opus.
Je ne suis pas très bon dans l’exercise de la chronique et c’est pourquoi je termine ce billet par ce conseil concernant cet album :

PLAY IT LOUD !!!

 


Arrivages du jour

Rhaaa….

Un billet prochainement pour parler plus précisément de ces albums …


Langfinger – Skygrounds

Un bon album est dur à trouver et, par dessus tout, difficile à définir car au final très subjectif.

Pour moi, il s’agit d’abord d’un album qui vous accroche dès la première écoute. A peine le premier riff parti, vous savez que ce skeud contient tous les ingrédients pour passer un bon moment le cul dans votre fauteuil en compagnie de Marie-Jeanne et vous emportez dans son univers.

Puis il y en a d’autres plus insidieux. Les albums qui, sur le coup, vous font dire mouais mais qui, mit au hasard sur votre platine, vous feront taper du pied et voire même hocher inconsciemment la tête.

Skygrounds est de cet acabit. Au départ, rien d’extraordinaire : un album de stoner/70’s assez classique dans sa forme exécuté avec cœur ses interprètes. Au fur et à mesure des écoutes, de nouvelles choses apparaissent à vos oreilles et vous vont apprécier la diversité de cet album. Du premier titre Herbs in My Garden classique mais qui constitue finalement une bonne accroche à Restart the groove et ses synthé pas si niais qu’ils n’y parraissent aux riffs Kyuesque de Iller, tous dans l’album me laissent en bout de course en goût plutôt agréable en bouche.

Chaudement recommandé.